Aller au contenu principal

GRANDES CULTURES BIO/
« Je ne reviendrais pas en arrière »

 Rentabilité financière et réflexion agronomique sur le long terme ont convaincu Laurent Dugué de passer son exploitation en agriculture biologique. L’opportunité pour le céréalier de revoir son système, tout en travaillant différemment. 

Installé sur le Gaec familial en 1984, Laurent Dugué a repris seul les rênes de l’exploitation en 1992. A cet instant, il fait le choix d’arrêter l’atelier de vaches allaitantes. Les investissements à réaliser sont trop conséquents, alors que les cours de la viande sont au plus bas et que la pandémie de vache folle fait son apparition. Il s’agrandit en 2004 pour atteindre 200 ha et fait le choix de la conversion à la production biologique en 2016. « En système conventionnel, je perdais de l’argent une année sur trois. Dorénavant, ce n’est plus le cas », explique le céréalier de 57 ans.

Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 85€
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Terre de Touraine
Consultez le journal Terre de Touraine au format numérique, sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter du journal Terre de Touraine
Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Terre de Touraine.

Vous aimerez aussi

« Une relation gagnant-gagnant »

Depuis leur rencontre au salon Ferme Expo 2021, les éleveurs Adriaenssens et le supermarché Intermarché de Veigné ont noué un partenariat durable.

Agrivoltaïsme au sol : les questions fréquentes

Les agriculteurs se posent encore de nombreuses questions concernant l’installation de panneaux photovoltaïques sur leurs parcelles agricoles.

De l'art en milieu rural

Démocratiser l’art en milieu rural et proposer une vitrine à plusieurs artistes, telles sont les deux raisons d’être des « Courants d’arts », un es

« L’équilibre financier sera dur à atteindre »

La qualité des premiers jus semble au rendez-vous dans le Chinonais.

« Des arômes fruités prometteurs mais fragiles »

Malgré un recul très limité pour tenter de qualifier ce millésime 2024, Nicolas Pichard, œnologue à la chambre d’agriculture d’Indre-et-Loire, se v

Paiement des avances Pac 2024 : des retards préjudiciables

10 % des demandes de DPB déposées en Indre-et-Loire et 24 % des demandes d’Ecorégime sont toujours en cours d’instruction et ne feront pas l’objet

Publicité